Les politiques commerciales | |||
Tant
que Boeing n'avait aucun concurrent sérieux, la compagnie pouvait se
permettre de "vivre sur ses acquis". La quantité d'investissements
était limitée, et une attitude court-termiste était mise en avant
(forte rentabilisation des avions déja lancés). Une politique de prix
très bas et un service de maintenance et d'assistance perfectionné
devaient premettre d'éviter l'apparition d'un concurrent viable. |
Une usine Boeing |
||
Airbus, de son côté, va proposer des ruptures technologiques et une offre de plus en plus étoffée, en empétant petit à petit sur tous les segments sur lesquels Boeing était traditionnelement positionné. Un A380 et toute la série des Airbus lors d'un salon. |
|||